Pour ces Messieurs qui portent si bien la cravate !

On associe souvent la coquetterie à la gente féminine… Mais dans la réalité, on n’en a pas l’exclusivité ! S’il est vrai que mes placards sont plein d’accessoires en tous genres et de toutes les couleurs, c’est avec ses cravates que mon homme, lui, fait preuve de coquetterie ! D’autant plus car c’est un accessoire élégant qui est beaucoup porté par ces messieurs pour danser le tango.

En fait, dans son placard on trouvait une cinquantaine de cravates, dont une trentaine qu’il porte régulièrement. Mais comme il n’a pas toujours celle qu’il faut pour aller avec sa tenue ou pour s’accorder à la mienne, j’ai fini par me lancer dans la confection de cravates pour Monsieur !

J’ai tout d’abord fait pas mal de recherches sur la technique à utiliser. Ce qu’il faut savoir c’est qu’il existe deux types de cravates : la cravate “Sept-plis”, et la cravate “doublée”. La cravate “Sept-plis” est semble-t-il une invention récente. Elle est fabriquée à partir d’un grand carré de soie (ce sont souvent des cravates haut de gamme), dont les côtés sont repliés 7 fois, donnant ainsi de la matière à la cravate et lui assurant un joli tombé. La cravate “doublée” (ou cravate “Trois-plis”) est la cravate traditionnelle à pointe triangulaire que l’on trouve dans tous les commerces qui vendent des cravates. Elle est composée du tissu extérieur doublé à chaque extrémité pour les finitions, et d’une triplure à l’intérieur, qui est invisible une fois la cravate cousue. Cette triplure détermine le rendu visuel de la cravate, et lui donne son aspect généreux par la création d’un léger galbe.

Pour ma part, j’ai choisi de tenter l’option cravate “doublée”. Après plusieurs essais allant de l'”approximatif” au “presque réussi”, j’ai enfin réussi à dompter la bête !

Curieux de voir ce que ça donne ? Process, explications, photos : c’est par ici !




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